Une des tares des chroniqueurs musicaux est de rechercher des influences, des familles musicales, pour définir des groupes ou albums. Et parfois, la dérive va jusqu'à ce que ce soient les groupes eux-mêmes qui s'encasent volontairement.
Tout le contraire chez Kim Novak. La liberté semble être le maitre mot de leurs compositions. Il y a surement pleins de cases à trouver dans leur musique, mais l'écoute est tellement naturelle, évidente et plaisante qu'on oublie toute étiquette. Comme s'il n'y avait aucun passé avant eux.
Notation : 9/10
En écoute sur Deezer.